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Le Guide 2023

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Scoops & Nouveautés n°3

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1.ELLESSE 100% VINTAGE

C’est ce qu’on appelle un retour aux sources. Un voyage à travers les années 70 et 80, auquel nous convie Ellesse. La période faste de la marque, qui habillait alors quelques-uns des monstres sacrés du tennis : Chris Evert, Guillermo Vilas (photo) ou Boris Becker. Puisque Ellesse a décidé de commercialiser ses anciens modèles… et uniquement ses anciens modèles ! Les coupes, les coloris et les matières sont les mêmes. Du 100% vintage. Les polos en maille piquée portés par Boris Becker seront ainsi disponibles dès le printemps 2011, avant l’arrivée des survêtements polyester et peau de pêche à l’automne, puis les chaussures de tennis en 2012. Les gammes rétro running, les baskets mid ou des modèles comme l’ «Assist», l’une des premières chaussures de skate, seront également réédités. Tous en séries limitées.

2.SHARAPOVA, NOUVELLE ÉGÉRIE «REBELLE» DE HEAD

Après Prince, la diva russe a récemment si- gné chez Head. Un nouveau contrat pour ses raquettes, qui avoisinerait les deux millions de dollars par an, d’après certaines sources. De quoi alimenter les rumeurs affirmant que la raquette, non marquée du logo de Prince et utilisée par la championne en 2010, était tout simplement une raquette Head dégui- sée. La star, qui revient peu à peu au sommet après deux années difficiles, fait aujourd’hui partie de l’équipe des “HEAD Racquet Rebels”, aux côtés de Novak Djokovic, Andy Murray, Robin Soderling, Victoria Azarenka et Svetlana Kuznetsova. 

L’occasion de cultiver un petit côté bad girl dont la Russe n’est pas dépourvue, comme en attestent parfois ses prestations sur le court ou ses propres déclarations. Sur son site of- ficiel, récemment rénové – www.mariashara- pova.com – figure notamment un petit Top 10 des choses pour lesquelles Maria n’est pas très douée : la patience, dire «tu as raison» ou encore suivre des instructions… 

WOZNIACKI TAQUINE LES JOURNALISTES

Après l’improbable blessure à la main de Julien Benneteau – en mangeant avec des baguettes ! – celle de Caroline Wozniacki aurait pu passer pour banale. À l’Open d’Australie, la n° 1 mondiale a ainsi expliqué ses égratignures au tibia par une attaque… de kangourou ! «J’ai vu un kangourou étendu sur le sol. Je suis allée le voir pour l’aider et il m’a griffée», a-t-elle raconté devant des journalistes amu- sés. Sauf qu’il s’agissait en fait, d’une blague ! Wozniacki voulait tacler certains journalistes qui trouvaient ses conférences de presse en- nuyeuses. Après son 3e tour, la Danoise avait déjà pris la presse à contre-pied, dé- qu’on lui posait «toujours les mêmes questions». Pleine d’humour, elle avait alors décidé de faire elle- même les questions et réponses… Vivement le prochain round.

BABOLAT APPOSE SA GRIFFE À ROLAND GARROS

Babolat vient de s’engager pour cinq ans (2011-2015) aux côtés de Roland-Garros. Fournisseur des balles du tournoi et cor- deur officiel lors de la quinzaine, Babolat lancera aussi une gamme tennis estam- pillée «Roland-Garros» : raquette, sac de raquettes, sac à dos, cordage, grips et anti- vibrateurs. «L’engagement de Babolat sur les Internationaux de France s’inscrit dans la durée», affirme la marque française. Avec la fa- brication des cordages des Mousquetaires et de Suzanne Lenglen dans les années 20 à la raquette de Rafael Nadal, dans les années 2000, Babolat a déjà un bout de chemin du côté de la Porte d’Auteuil.

UN CORDAGE POUR LÂCHER LES CHEVAUX

Pouvoir lâcher ses coups sans craindre d’ar- roser les bâches, tel est l’objectif de Prince. Pour réaliser cette quadrature du cercle qui consiste à allier à la fois puissance, contrôle et précision, son nouveau cordage, couleur vert Hulk et baptisé «Beast XP», s’appuie sur deux atouts majeurs. 

Tout d’abord, un déplacement et un replace- ment rapide des cordes lors de l’impact (deux millisecondes maxi) «générant au moins 9% de lift en plus que les autres cordages», assure l’équipementier de Gaël Monfils. Ainsi qu’un meilleur contrôle des trajectoires laissant les sensations intactes, grâce au renfort d’un al- liage secret… Prince assure également réduire la perte de tension, connue pour être rapide chez les monofilaments, par l’utilisation d’un procédé de fabrication favorisant la consistance du cordage dans des conditions très variées et sur différentes raquettes.«Pour dépasser les autres polyesters en offrant la meilleure combinaison possible entre contrôle, puissance, lift, durée et tension»… Les résultats des essais par TennisAddict prochainement !