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Artengo au service des joueurs “experts”

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Créée en 2006 au sein du groupe DECATHLON, la marque Artengo a d’abord souhaité démocratiser l’accès aux sports de raquettes (tennis, tennis de table, badminton, squash). Artengo proposait alors aux joueuses et joueurs du matériel pratique, facile à utiliser et abordable. “Il y a 4 ans, fort de son succès notamment sur le “débutant”, Artengo a pris un premier virage en décidant de s’adresser un peu plus au joueur de club via notamment des innovations sur ses raquettes”, souligne Cyril Perrin, leader Sport Tennis.

 

Fin 2016, la marque a décidé d’aller encore plus loin dans cette démarche en créant une équipe dédiée à chaque sport : tennis, tennis de table, badminton, squash et padel. “Ce changement d’organisation nous permet d’aller plus loin dans chaque sport, de travailler plus en profondeur puisque chacun a ses spécificités. Sur le tennis, avec notre équipe composée d’une quarantaine de passionnés, nous souhaitons couvrir les besoins de tous les joueurs et joueuses, notamment ceux de l'”Expert”, poursuit Cyril Perrin.

Cette stratégie se concrétise début avril par la sortie en magasins d’une nouvelle gamme de raquettes dédiées aux joueurs et joueuses classés 3ème et 2nde séries: 4 raquettes pour 4 types de jeux différents, vendues entre 80 et 90€.”us nous concentrons sur le développe- ment de produits devant répondre à des usages très précis et avons la volonté de les vendre au meilleur rapport qualité/prix possible.” explique-t-il. 

” Parmi les 3 modèles apportant plus de puissance, la TR 990 PRO+ est la raquette utilisée par Mallaurie Noテォl (22ème française, 684ème WTA) et l’Autrichien Oliver Marach, n°ー1 mondial à la Race 2018 en double, et récent vainqueur du double Messieurs à l’Open d’Australie avec son partenaire Mate Pavic.Il s’agit d’un modèle rallongé de 1,5 centi- mètres pour une meilleure ef cacité notam- ment au service et en coup droit. La TR 990 PRO constitue sa version classique. Il existe dans la nouvelle gamme un 3ème modèle de 285g, la TR 900, plus légère, davantage pen- sée pour les 3ème Série.En n, nous avons développé une raquette qui offre plus de contrôle et de précision, la TR 960. Avec un cadre plus polyvalent, elle est déjà utilisée sur le circuit par la française Julie Gervais (41ème française et 603ème WTA)”, précise Eric Briet, chef de produit tennis.

 

Véritables partenaires techniques, Oliver Marach, le Belge Steve Darcis (38ème mondial en 2017), et aussi d’anciens joueurs français devenus coaches de haut niveau comme Nicolas Escudé (ex n°ー 17 ATP) et Jérôme Haehnel (ex n°ー78 ATP), ont été impliqués dès le début du processus de conception de ces raquettes, participant à de nombreux tests, donnant leurs impressions et ressentis. “Oliver Marach et Steve Darcis sont de véri- tables partenaires. La raquette utilisée par Oliver par exemple, on travaille dessus en- semble depuis 2 ans, et nous sommes ravis de pouvoir prouver qu’elle a tout d’une grande, qu’elle peut aussi gagner un tournoi du Grand Chelem ! Si d’autres joueurs du circuit ont envie d’entrer dans ce type de relations de co-conception avec nous, nous restons bien entendu ouverts”, ajoute Cyril Perrin.

“Il faut noter aussi que chaque raquette Artengo est conçue en France au siège de DECATHLON à Villeneuve d’Ascq et que chaque modèle subit environ 500 heures de tests auprès d’un panel de joueurs et profes- seurs de tennis.” 

“NOUS VOULONS AVANT TOUT PROPOSER LE PRODUIT LE PLUS PERTINENT POSSIBLE POUR UN TYPE DE JEU DONNE, ET CE, AU MEILLEUR PRIX ” 

Côté communication, la stratégie d’Artengo repose principalement sur le test des produits : l’objectif étant de faire tester un maximum de raquettes aux joueurs de clubs en s’appuyant, entre autres, sur son réseau de magasins DECATHLON et ses équipesde ventes. “Nous savons que la route sera longue car nous avons, pour beaucoup, commencé à jouer il y a quelques années avec des raquettes d’autres marques”, explique Eric Briet. “D’où l’importance de notre stratégie de tests, étape indispensable pour convaincre !”.

“Nous ne nous animons pas directement sur des objectifs de prise de parts de marché. Notre approche est un peu différente : nous voulons avant tout proposer le produit le plus pertinent possible pour un type de jeu donné, et ce, au meilleur prix. La progression de notre part de marché en sera ainsi naturelle- ment la conséquence”, conclut Cyril Perrin.